FJ55, première partie, la caisse
Parallèlement au travail sur le châssis, un gros travail a été réalisé sur la caisse lors du début de la restauration. Comme sur les FJ40, la corrosion reste la maladie des land Cruiser de ces années là. Heureusement, le notre a passé une partie de sa vie en Afrique où l’air sec a préservé sa structure. Un compagnon tôlier s’est occupé de reprendre l’intégralité des points abimés. Un travail de spécialiste amoureux des choses bien faites dont voici quelques images. Du coup, il est difficile de comprendre pourquoi cette restauration de FJ55 a été stoppé pendant huit ans. Nous la retrouverons dans l’état que vous connaissez.
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